C’est la 8ème rétrospective gourmande de ce blog. L’occasion de revenir sur les meilleurs moments gastronomiques de l’année.
Envie de lire cette de l’année dernière ? C’est ici.
Sinon, c’est parti !
Cette année, j’ai adoré la cuisine traditionnelle et notamment le paleron braisé façon Rossini du chef Alain Carrère > restaurant le 41 Penthièvre.
J’ai été émerveillée par mon voyage au XVIIIe siècle et par la cuisine de Nicolas Roudier au 1728 qui mérite une étoile > ici.
Il en faut un, c’est le gros coup de coeur de l’année : l’endroit, la cuisine, le chef, le service, le Bistrot Belhara a tout pour plaire.
Encore un bistrot bien dans son jus près de la fondation Cartier, le Bistrot T. Le chef, Christophe Alloy, fait des merveilles.
Quand les makis deviennent gastronomiques, c’est chez Blueberry.
Un des temples parisiens consacré au boeuf, cuit dans un four Josper, au restaurant Sur la Braise.
La fabuleuse auberge de Flora Mikula et ses cromesquis addictifs > l’Auberge Flora.
Les petites recettes d’une grand-mère vietnamienne ont fait le succès de cette cantine rue Daguerre, un Jour à Hanoï.
J’ai aussi craqué pour les gyudons (bol de boeuf mariné, légumes et riz) parfaits de chez Oïshinoya (bientôt en ligne !)
Asie toujours, mais cette fois en Corée, pour déguster un excellent bobun associé à une très belle carte des vins, chez Soon.
Il est jeune, il est diaboliquement doué et il fume lui-même ses poissons, c’est Ugo Ghion, à la Table d’Ugo.
Et encore un superbe bistrot, Alain Hacquard y allie technique et gourmandise > Juste le Zinc.
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Une belle année gastronomique, j’espère qu’il en a été de même pour vous.
Rendez-vous la semaine prochaine pour débuter une nouvelle année pleine de gourmandises et de belles découvertes. Ca commencera plutôt très bien avec un des meilleurs cassoulets de Paris, un salon de thé aux merveilleuses pâtes à tartiner, des pasta renversantes, des gyudons réconfortants et un restaurant italien étoilé.
A l’année prochaine !
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